À partir de la pratique de la peinture, du dessin, de la photographie, de la sculpture, de l’estampe, de la performance et du commissariat d’expositions, je déploie une œuvre protéiforme depuis la fin des années 90.
Formé à l’université de Rennes puis, accompagné par le critique d’art Denys Zacharopoulos, je m’installe à Addis Abeba en 1999. L’aventure durera 16 ans : je crée et dirige trois galeries d’art contemporain ; enseigne l’histoire de l’art à l’école des beaux-arts et de design d’Addis Abeba et m’engage aux côtés des artistes de la scène éthiopienne.
Je me suis notamment vu confier la direction artistique de projets d’exceptions par des institutions internationales réputées : l’UNESCO, le Goethe Institute, le Palais des Bozar des Bruxelles, le British Council, l’Union Africaine et le Ministère Français des Affaires Étrangères —qui m’attribua le prestigieux prix AFAA pour le caractère atypique et l’exigence de mes propositions culturelles.
En 2016, je quitte Addis pour m’installer sur les rives du Golfe Persique, à Dubaï, mettant ainsi entre parenthèse ma pratique de commissaire d’exposition et de marchand d’art, afin de me consacrer exclusivement à l’enseignement et au développement de mon travail personnel. Résidence à Liège, exposition en off de la Dubaï Art Fair et commande du MAK de Vienne me permettront de rencontrer un nouveau public et d’expérimenter de nouveaux territoires.
En 2019, après une année de résidence à Londres, j’ouvre mon atelier à Saint-Florent-Le-Vieil —d’où je suis natif— marquant une rupture radicale dans ma trajectoire artistique. Partant invariablement de la pratique du numérique, je commence à investir le champ pictural, ce médium dominant mon travail désormais.
Ma manière de procéder à géométrie variable s’enrichit le plus souvent de dialogues avec de multiples disciplines (poésie, littérature, philosophie, théologie, sciences humaines et naturelles…) pour renvoyer le spectateur/acteur à un lecture plus étendue. Ainsi, qu’il s’agisse de CryptoLux à l’Abbaye Mauriste de Saint-Florent Le Vieil, à l’Éloge de l’Oblique à Lignée, de collaborations avec des cinéastes, musiciens, comédiens, maître-verrier, ou ébénistes, je convoque dans chacun de mes projets plusieurs dimensions, sans jamais m’en tenir à un vocabulaire formel défini. J’investis une multitude d’écritures et de supports.
La transmission étant également au cœur de mon engagement artistique, j’ai animé un module d’enseignement sur les cultures numériques à l’Université Catholique de l’Ouest, Campus de Nantes pendant deux ans. Nommé à l’été 2022 pour mettre en place le programme d’éducation aux arts visuels, à la Dar Essalam American School de Rabat, c’est désormais au Royaume du Maroc que j’ai posé mes valises et mes semelles de vent…
À partir de la pratique de la peinture, du dessin, de la photographie, de la sculpture, de l’estampe, de la performance et du commissariat d’expositions, je déploie une œuvre protéiforme depuis la fin des années 90.
Formé à l’université de Rennes puis, accompagné par le critique d’art Denys Zacharopoulos, je m’installe à Addis Abeba en 1999. L’aventure durera 16 ans : je crée et dirige trois galeries d’art contemporain ; enseigne l’histoire de l’art à l’école des beaux-arts et de design d’Addis Abeba et m’engage aux côtés des artistes de la scène éthiopienne.
Je me suis notamment vu confier la direction artistique de projets d’exceptions par des institutions internationales réputées : l’UNESCO, le Goethe Institute, le Palais des Bozar des Bruxelles, le British Council, l’Union Africaine et le Ministère Français des Affaires Étrangères —qui m’attribua le prestigieux prix AFAA pour le caractère atypique et l’exigence de mes propositions culturelles.
En 2016, je quitte Addis pour m’installer sur les rives du Golfe Persique, à Dubaï, mettant ainsi entre parenthèse ma pratique de commissaire d’exposition et de marchand d’art, afin de me consacrer exclusivement à l’enseignement et au développement de mon travail personnel. Résidence à Liège, exposition en off de la Dubaï Art Fair et commande du MAK de Vienne me permettront de rencontrer un nouveau public et d’expérimenter de nouveaux territoires.
En 2019, après une année de résidence à Londres, j’ouvre mon atelier à Saint-Florent-Le-Vieil —d’où je suis natif— marquant une rupture radicale dans ma trajectoire artistique. Partant invariablement de la pratique du numérique, je commence à investir le champ pictural, ce médium dominant mon travail désormais.
Ma manière de procéder à géométrie variable s’enrichit le plus souvent de dialogues avec de multiples disciplines (poésie, littérature, philosophie, théologie, sciences humaines et naturelles…) pour renvoyer le spectateur/acteur à un lecture plus étendue. Ainsi, qu’il s’agisse de CryptoLux à l’Abbaye Mauriste de Saint-Florent Le Vieil, à l’Éloge de l’Oblique à Lignée, de collaborations avec des cinéastes, musiciens, comédiens, maître-verrier, ou ébénistes, je convoque dans chacun de mes projets plusieurs dimensions, sans jamais m’en tenir à un vocabulaire formel défini. J’investis une multitude d’écritures et de supports.
La transmission étant également au cœur de mon engagement artistique, j’ai animé un module d’enseignement sur les cultures numériques à l’Université Catholique de l’Ouest, Campus de Nantes pendant deux ans. Nommé à l’été 2022 pour mettre en place le programme d’éducation aux arts visuels, à la Dar Essalam American School de Rabat, c’est désormais au Royaume du Maroc que j’ai posé mes valises et mes semelles de vent…